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ORGANE D'EXPRESSION DES SANS VOIX

POLITIQUE

 

LA REGIONALE

LA VILLE DE DSCHANG, CHEF LIEU DE REGION PREDESTINE

          Comme des personnes, il y’a des villes prédestinées à de grands rôles. Au cameroun, Dshang semble être de ces villes-là. Car la fin du 19e siéle que les colons allemands, créèrent la ville de Dschang, et en firent un chef-lieu d’où ils administraient toutes les contrées conquises de l’ouest-cameroun.Apès leur départ, à la fin de la deuxi éme guerre mondiale les  français, dans un premier temps tranfèrent leur chef –lieu à Bana, dans le département du Haut –Nkam actuel. Mais grâce au site splendide et au climat tempéré de Dschang , ils ne tardérent point à rétablir Dschang dans son rôles de cité pilote de la region  Bamilikés ,et y construsirent le centre climatique pour leurs séjours et respos .Dès lors, cette cité conservera sa postion privilégiée,et rayonnera jusqu’au lendemain de l’indépendance, lorsque Monsieur Nkwayep Enock, L’Inspecteur Fédéral d’administration y résidant, emmena le gouvernement à décider le tranfert du chef- lieu de la région Bamiléké à Bafoussam , pour des motifs fallacieux violant à peine son mépris personnel pour cette ville histoique .Ceci est d’autant qu’au cours d’une visite officielle effectuée à Dschang en 1962 par le premier Président de la république du cameroun , Hamadou Ahidjo suite aux plaintes de populations ,avoua qu’il avait été induit en erreur , et promis de réparer ce préjudice si Dieu lui prête vie. C’est très probablement cette promesse qui serait la raison profonde  de la créaction par ce chef de l’Etat quelques  années plus tard du centre  universitaire de Dschang contre tous les avis donnés par ses conseillers.Si aujoudhui la ville de Dschang n’est plus administrativement un chef de région l’université portant son nom qu’il abrite, la  place au rang des villes prestigieuses où siegent les aures universités du cameroun  qui sont toutes des chefs- lieux de provinces. A cet égard, Dschang conserve et joue toujours un rôle  de ville pilote.

                Dans la perpective que Dshang  redevienne un chef lieu de région, plusieurs raison militent en faveur d’une telle éventualité .Citons en quelques unes à titre d’illustration.

                 1-eu égard à la forte densité de la province de l’ouest, celle-ci pourrait être scindé en deux régions distinctes : l’une que l’on pourrait appeler région des hauts –plateaux comprenant les dépardements de la Mifi, du Nkoung’ki des haut plateaux, du Noum et du Ndé dont les chefs lieu resteraient Bafoussam. L’autre entre autre dénomination qui pourait être baptisé »region des falaises » serait formés par les departement de la Menoua, les Bamboutos, du Haut –Nkam et du lebielem, ayant pour chef lieu Dschang. Car, il conviendrait de ne pas créer des régions trop vaste où trop denses pour éviter qu’ils en naissent en leurs seins des explosions futures.

                 2-pour enlever définitivement de l’esprit de certains camerounais toutes les velléités de sessions entre les anglophones et les francophones il paraît judicieuxd’intégrer les diverses populations voisines de deux côté dans des structures communes qui  feraient diparaître tous les vestiges des divisions coloniales du pays, en même temps qu’elle assurerait l’intensification et la généralisation du bilinguisme par les adaptations néccessaires des programmes d’enseignements scolaires et universitaires. Dans cette optique, outre la nouvelle « region de falaise » préconisée ci’dessus, on pourrait également envisager la création d’autres régions renforçant l’intégration des anglophones, et francophones  comme par exemple la » région du mont cameroun qui comprendrait d’une part le département du Moungo, et d’autre part toute la province du sud –ouest  département de Lebialem.

Il est sans conteste que le plus grand critère de vialibilité des régions autonomes sont l’identité culturelle, l’homogéité des activités économiques et des rapports sociaux, le tout sous-tendu par les traditions et habitudes communs.

                  A cet effet, il y’a lieu de souligner que la multiplication des régions autonomes au cameroun conduit à le designer non plus par des points cardinaux trop abstaits mais par l’histoire, la culture où la nature tels que les océans les mers les fleuves les montagnes les plaines etc… qui sont souvent les symboles d’identification de peuples…

                  Puisse la roue de l’histoire qui tourne replacer un jour  la ville de Dschang dans sa position naturelle de métropole à la quelle elle semble avoir été prédestinée.

                                                                                                                                                                                          FAC

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

INTERVIEW ACCORDÉ PAR LE AU PRÉSIDENT NATIONAL DU RDPF – KUMZSE À LE CITOYEN À DSCHANG

 

ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 2011

 

ANTOINE DE PADOUE NDEMMANU affûte ses armes et mobilise les siens pour un succès sans précédent à ces futures consultations électorales en vue de la conquête du PALAIS D’ÉTOUDI ;

 

Il sied de vous rappeler que le Cameroun compte à l’instant près/plus de 210 partis politiques disséminés sur l’ensemble du territoire nationale camerounais ; parmi lesquels le KUMZSE (RDPF), parti politique créé par l’inspiration du feu chef DJOUMESSI MATHIAS, Chef Supérieur Foréké Dschang dont le petit-fils en est aujourd’hui le Président National. Antoine De Padoue NDEMMANU, un ingénieux personnage, imprime sa marque dans un entretien accordé à notre rédaction, prêche à cet effet les mécanismes de l’alternance au Cameroun. Son intention de briguer pour la seconde fois le poste du Président de la République suscite beaucoup d’interrogations et des interrogations sur son charisme politique, l’expérience dans la connaissance et la pratique des affaires et de l’État, ses qualités de meneur d’hommes, sa tactique, ses stratégies et ses méthodes d’actions, son sens de l’intérêt général et son voisinage des populations de la Menoua en particulier et du Cameroun en général.

 

Homme politique rompu, le Président du RDPF – KUMZSE vous livre des réactions dignes d’intérêt.

 

LE CITOYEN : Monsieur Antoine De Padoue NDEMMANU, vous semblez n’être pas beaucoup connu après l’élection présidentielle de 1997 (12 Octobre 1997), où vous avez été CANDIDAT malheureux. Pouvez-nous brosser sommairement votre biographie ?

 

ANTOINE DE PADOUE NDEMMANU : Tout d’abord, je vais vous remercier pour cette marque de confiance et surtout vous féliciter pour le travail abattu en vue de mieux informer les habitants et ressortissants de la Menoua sur les actions menées par la nouvelle équipe de la Mairie en faveur des populations de la Menoua.

 

Je dois dire qu’après l’élection présidentielle de 1997, élection à laquelle, j’ai participé au nom de notre parti, je me suis retiré un moment pour préparer à l’ombre le projet de société camerounais que nous vous invitons à prendre connaissance et à vous l’approprier :

 

« CAMEROUN, UN PROGRAMME POUR LE NOUVEAU DU RENOUVEAU »

 

 

 

Sur ma personne, je suis né le 23 Mars 1960 à Douala (Cameroun), fils du feu Patengouh Mangouh Boniface et Ma’a maffo Ngouala Lucie, Économiste, administrateur de sociétés, Président National du RDPF – KUMZSE, marié, père de trois enfants, candidat malheureux à l’élection présidentielle du 12 Octobre 1997 pour le compte de mon parti (RDPF-KUMZSE) de nouveau candidat à l’élection présidentielle de 2011 et près à vous servir.

 

 

DR ANTOINE DE PADOUE NDEMMANU,

VOTRE OBAMA, SOLUTION POUR LE CAMEROUN en 2011

 

LE CITOYEN : Comment percevez-vous le Cameroun dès 2011 car vingt neuf mois (29) mois avant cette échéance, les Camerounais n’ont pas encore un candidat, sauf vous qui se présente et affûte déjà les armes ?

 

ANTOINE DE PADOUE NDEMMANU : Je perçois le CAMEROUN après 2011 comme un ÉTAT NATION en plein développement, qui prend de l’avance sur le retard accumulé, UN CAMEROUN DU NOUVEAU PAR LE RENOUVEAU. S’agissant de votre déclaration sur le CANDIDAT, je dois dire que j’ai une autre appréciation de ce qui est fait, tout d’abord, il y a selon ce que nous reporte depuis un certain temps les informations politiques sur les écrans de la chaîne nationale, qu’il y a quelques responsables/irresponsables du gouvernement, qui s’agitent et annoncent en compagnie d’une poignée de militants du parti au pouvoir, leur appui et soutien à la Candidature du CANDIDAT NATUREL de leur Parti, alors que la majorité des camerounais pour reprendre votre expression « Les Camerounais n’ont pas encore un CANDIDAT ».

 

Je me ferai un plaisir énorme d’être leur choix pour cette CANDIDATURE À LA CANDIDATURE.

 

 

 

 

 

LE CITOYEN : Vous êtes président national du RDPF-KUMZSE, qu’entendez vous par candidat naturel dans un pays dit on démocratique ?

 

ANTOINE DE PADOUE NDEMMANU : Difficile, mais pourtant vrai. Candidat naturel est une expression utilisé dans un sens figuré, il ne peut y avoir de corolaire entre cette expression et la démocratie, seulement certains partisans du parti au pouvoir comme des partis d’opposition parlementaire utilisent cette expression pour signifier leur alignement derrière celui qu’ils reconnaissent comme chef (président).

 

Par ailleurs, il ne faut pas oublier, qu’avant l’administration coloniale, le Cameroun féodal était composé de petites chefferies et la notion du chef, autorité suprême et naturellement choisi par le chef défunt ou les notables est une notion qui continue malgré la mutation vers une administration républicaine, à être des pratiques courantes, qui ne disent pas leur nom et qui sont la face cachée de notre jeune démocratie.

 

LE CITOYEN : D’aucuns pensent que ANTOINE DE PADOUE NDEMMANU n’avait plus besoin de créer un parti politique et qu’il devait se lier à l’opposition camerounaise pour exprimer ses idées. Quelles sont vos réactions ?

 

ANTOINE DE PADOUE NDEMMANU : Tout d’abord, ce que pense les gens, puisque c’est leur droit de penser, ne peut que leur engager. Aujourd’hui et pour répondre à la constitution de 1996 amendée et modifiée en 2008, nous devons nous régionaliser, comme quoi commencer par balayer devant sa porte avant d’aller balayer ailleurs. Et à titre de rappel, Dschang a depuis 1938 créé un parti politique, qui a aidé les habitants et les ressortissants de la Menoua à s’inscrire activement à la marche pour notre indépendance comme au désenclavement de notre département à travers la culture du café et du cacao, l’abolition de l’impôts des femmes, la création de la route Dschang-Melong/Melong-Dschang, etc.

 

Dire que Dschang a dès les premières heures de notre indépendance fait preuve de son génie, de son unité et de sa capacité en prendre en compte les aspirations et les difficultés des populations de la Menoua à gérer les affaires de notre communauté. Ainsi, le problème ne se pose pas en terme de création d’un autre parti politique mais plutôt en terme de redonner aux habitants et ressortissants de la Menoua le cadre politique statutairement autonome jadis existant pour mieux assurer les intérêts de toutes nos populations au sein d’une plus grande famille que sont les régions, les départements et les arrondissements du Cameroun.

 

Ma réaction vise aussi à faire comprendre si ce n’est remarquer à tous nos ressortissants, qu’aujourd’hui notre démarche serait de soutenir notre parti avec un accent plus régionale dans son implémentation dans notre cher département et ceci au détriment des partis avec siège dans un autre département que la Menoua, et sans pour autant que cela soit qualifiée comme une action antipatriotique. Les enfants et ressortissants de la Menoua doivent pouvoir comme c’est le cas ailleurs,(Nord du Cameroun, etc.), se rassembler et s’unir en vue d’une alternance démocratique au Cameroun sous l’égide d’un parti politique et en occurrence du parti créé par nos ancêtres « KUMZSE »..

 

 

 

 

 

À titre d’exemple, combien de leaders politiques ou d’opinions ont pu de nos jours faire exprimer leur idée dans les formations politique pour le bien être de tous ? Autant le savoir, les leaders politiques de l’opposition ont besoin de se rendre à l’évidence que leur comportement n’est pas pour aider l’opposition à présenter aux camerounais une alternance politique en 2011, toutefois une reconsidération de cette situation pourra sans nul doute créer la dynamique, qui en 1990-92 ont permis à l’opposition d’être majoritaire au Parlement face au parti au pouvoir, qui pour mener à bien l’action gouvernementale devait faire, à chaque fois que besoin se faisait sentir, une alliance avec d’autres partis de l’opposition pour se maintenir au pouvoir.

 

La nécessité de créer un autre cadre associatif et statutaire plus précisément de remettre en scelle l’ancien parti politique de Dschang « KUMZSE » pour nous s’imposait, surtout lorsque nous avons constaté que le parti au pouvoir et les partis de l’opposition parlementaire n’ont pas su offrir à nos compatriotes le  vrai débat, la vraie formation au patriotisme ; aucun plan d’action n’a été conçu depuis 1987 pour permettre la diffusion, le suivi et la mise à niveau de la seule plate forme politique du RENOUVEAU intitulé « POUR LE LIBÉRALISME COMMUNAUTAIRE », qui n’a jamais fait l’objet d’un programme scolaire voire académique, comme pour dire que les dirigeants du parti au pouvoir n’ont pas su faire partager à la jeunesse camerounaise, le programme politique conçu et approuvé pour notre pays depuis 1987 et qui n’a jamais été implémenté faute d’un plan d’action pour sa concrétisation.

 

LE CITOYEN : Que pensez-vous de l’Opposition Camerounaise ?

 

ANTOINE DE PADOUE NDEMMANU : Je pense du bien de l’opposition camerounaise, puisque cette opposition est composée de partis politiques créés par les Camerounais soucieux d’apporter leur contribution à l’édification d’une très grande NATION CAMEROUNAISE prospère et solidaire. UN peuple nation camerounais uni par un même destin.

 

L’opposition camerounaise est majoritaire, toutefois, elle est divisée et par conséquence fragile et affaiblie ; ce qui ne veut pas dire que l’opposition camerounaise n’existe plus voire qu’elle est en perte de vitesse ou en voie de disparaître de la scène politique, mais que l’opposition camerounaise doit se soucier plus de son peuple qui lui fait confiance. Il n’est de secret pour personne que l’opposition camerounaise a, au début du multipartisme, su donner aux Camerounais de l’espoir, une situation qui peut et doit pouvoir revenir puisqu’il est écrit : « Ce que j’ai fait, Je le referai ».

 

Les Camerounais recherchent « le CANDIDAT », celui, qui va les unir, celui qui peut mériter leur confiance et ne pas leur trahir le moment venu pour un éventuel poste ministériel voire de l’argent.

 

C’est dans ce souci majeur, que mon épouse et moi sommes revenus au Cameroun depuis Décembre 2007, afin d’aller à la rencontre, à la découvert du peuple nation camerounais pour lequel, j’ai une admiration profonde. Je peux donc affirmer sans me tromper que j’aime mon pays et toutes les années passées dans plus d’un pays étranger n’ont pas entamé en rien mon sens élevé de la chose publique et mon amour sans réserve à mon pays :

« CAMEROUN NOUS T’AIMONS – NOUS SOMMES LE NOUVEAU VISAGE DU CAMEROUNCAMEROON WE LOVE YOU - WE ARE THE NEW FACE OF CAMEROON »

 

COMMUNE DE DZENG – MAIRE DE DZENG, DR ANTOINE DE PADOUE NDEMMANU, LE CONSEIL MUNICIPAL ET LA JEUNESSE

 

LE CITOYEN : Pour vous M. ANTOINE DE PADOUE NDEMMANU, le Cameroun est il un pays pauvre ? Quelles potentialités regorgent le Cameroun ?

 

ANTOINE DE PADOUE NDEMMANU : Tout d’abord, qu’est ce que c’est que la être pauvre ?  

 

Être pauvre veut dire, être dans un état de manque. Alors lorsque nous parlons d’un pays pauvre on sous-entend un pays qui manque de tout. Est bien le cas du CAMEROUN ?

 

Je dirai non ! Puisque tous les jours que Dieu a fait des gros porteurs parcours notre pays pour ramener des billes de bois au port en vu de leur exportation à l’étranger de même pour ce qui est de notre pétrole, fer, Aluminium, Café, Cacao, Caoutchouc, Or et maintenant Diamants (une nouvelle importante et récente découverte faite en 2007-2008 à l’Est du Cameroun, nous révèle une réserve, dépôt de diamants, qui ferait cinq fois la production mondiale de diamants). Voici pour ce qui est des ressources naturelles et l’honnêteté intellectuelle voudrait que nous reconnaissons tous et sans exception que le Cameroun est riche de richesse naturelle ; que le Cameroun est riche de soleil, de pluie, d’eau et de vivres. Que la gastronomie camerounaise nous offre du premier au trente mois un repas différent.   Le Cameroun n’a pas encore effectué le ratissement systématique de son sous-sol pour nous livrer les secrets de ces réserves minières encore inexploitées (Bauxite, etc.).

 

 

Alors dire que le Cameroun est pauvre ne saurait se justifier au vu des possibilités et potentialités évoquées ci-dessus. Par contre, je dois dire que pays pauvre et pauvreté sont des expressions néocolonialistes avec lesquelles nos parents ont été éduqués voire exploités. Nous sommes pauvres parce qu’il nous a été dit de le dire et de croire que cela est vrai que nous sommes pauvres et ceci pas parce que nous manquons de quelque choses mais parce que nous devons tout simple admettre dire être pauvre et parce que d’autres disent être riches. Ainsi être riche ou pauvre devient relatif à une situation circonstancielle voire providentielle. Les courtisans s’enrichissent de riches qu’ils puisent chez nous, n’est pas là encore la preuve de ce que nous ne connaissons pas bien notre pays et qu’il faut à chaque fois que des étrangers viennent nous dire de quoi notre pays est fait. Être pauvre ou encore la pauvreté est devenu un instrument d’asservissement et d’ignorance.

 

Alors, il faut admettre que nous sommes pauvres, déficitaires et trop endettés parce que d’autres sont riches, excédentaires et autosuffisants. Il faut aussi souligner notre richesse intellectuelle, le Cameroun est riche de ressources humaines, le Cameroun regorge d’intellectuels, il est un des rares pays en Afrique subsaharienne à faire sa balance de paiement, preuve de ce que ses enfants ont la maîtrise du savoir faire et de la gnose. Aujourd’hui et de part les institutions internationales, le Cameroun a, à travers de ses dignes fils et filles, des ressources humaines un peu partout dans le monde et surtout dans les institutions de grandes renommées telles que la NASA.

 

LE CITOYEN : Quel Plan d’action pour l’encadrement de la jeunesse, fer de lance de la nation ?

 

ANTOINE DE PADOUE NDEMMANU : L’encadrement de la Jeunesse camerounaise est et doit être le fondement de toute politique socioéconomique, étant donné que la jeunesse camerounaise est dépositaire d’un savoir faire nouveau et moderne, elle est la force d’action des générations du deuxième, troisième et quatrième âge.

 

Le RDPF – KUMZSE dans son projet de société camerounaise, programme politique pour l’élection présidentielle de 2011, intitulé : « CAMEROUN, UN PROGRAMME POUR LE NOUVEAU DU RENOUVEU » a indiqué comment il entend venir à bout de cette problématique du régime au pouvoir qui depuis plus de vingt sept(27) ans n’a jamais pu apporter de solutions à l’encadrement de la jeunesse. Nous vous invitons à consulter notre BLOG sur le lien suivant :

 

http://qnefertiti.blogspot.com

 

Pour vous faire une idée du programme très riche et très ambitieux pour la jeunesse camerounaise.

 

Nous ne finirons sans mentionner la nécessite de sensibiliser et de conscientiser la jeunesse à plus de patriotisme. La jeunesse camerounaise souffre d’un manque de patriotisme d’où leur penchant à vouloir immigrer vers les pays du Nord en vue de trouver du travail et de mieux s’épanouir.

 

Pour la jeunesse camerounaise, le RDPF – KUMZSE, vous invite à prendre connaissance et à vous approprier de notre projet de société.

 

 

Si le travail est une torture propre à l’homme pour son développement, l’emploi est un travail rémunéré. La jeunesse camerounaise doit apprendre le travail bien fait pour mieux valoriser leur compétence et leur savoir faire. À la jeunesse camerounaise nous disons ceci :

 

« Jeunes, apprenez plutôt un métier pour garantir un emploi ! »

« He ! Êtes-vous au courant que l’illettré de demain et celui qui ne connaît pas manipuler un Ordinateur ? »

   

QUE DIEU BÉNISSE LA JEUNESSE CAMEROUNAIE !

 

LE CITOYEN : En votre qualité de Président National du RDPF – KUMZSE, ELECAM est elle crédible ? Et peut-on compter sur elle pour assurer des élections transparentes au Cameroun ?

 

ANTOINE DE PADOUE NDEMMANU : Élecam est notre jeune épouse qui vient après le divorce difficile du peuple nation camerounais d’avec l’ONEL. Nous connaissions tous les limites et le tort causés par l’ONEL au processus démocratique au Cameroun, nous savons qui était l’épouse que le peuple nation camerounais a perdu avec l’ONEL mais nous ne connaissons pas encore ÉLECAM et comme d’habitude, elle ne peux que bénéficier de la présomption d’innocence. Le peuple nation camerounais ne peut condamner cette nouvelle institution par le simple faite que certains camerounais ont été désignés pour assurer la bonne marche de cette nouvelle institution en remplacement de l’ONEL et que la moralité de cette nouvelle équipe est douteuse. Le RDPF – KUMZSE accorde ainsi sa confiance à Élecam dans la gestion de la transparence pour les élections avenirs au Cameroun, nous jugerons la nouvelle structure et la nouvelle équipe au pied du mur. Nous devons accorder le bénéfice du doute à cette nouvelle institution et équipe, qui a mission de faire en sortes qu’à l’avenir les élections au Cameroun se déroulent dans la plus grande transparence démocratique. Nous ne saurions procéder à la chasse aux sorciers voire refuser que chacun de nous soit capable de changer ou du changement et que l’équipe désignée pour conduire cette nouvelle institution est capable d’équité et de transparence.

 

Par conséquent nous invitons tous les camerounais, tous nos compatriotes et patriotes à accorder à Élecam la chance de nous démontrer qu’elle est digne de notre confiance, BONNE CHANCE ÉLECAM.

 

Nous restons par contre très vigilent et très attentif à tout ce que ÉLECAM va entreprendre pour assurer à l’électorat camerounais une plus grande transparence ; de même nous recommandations à tous les Camerounais de se joindre à notre action et de faire au temps que faire se peut, des suggestions voire des recommandations pour une bonne marche de ÉLECAM.

 

LE CITOYEN : Vos contacts permanents avec la FCB n’augurent-elles pas des possibilités de traiter avec le régime BIYA et ne font-ils pas de vous un de la majorité présidentielle ?

 

ANTOINE DE PADOUE NDEMMANU :  Tout d’abord je vais vous dire que je n’ai pas de contacts avec la FCB mais mon épouse a des contacts avec la FCB et ce qui m’amène de fois à intervenir comme consultant pour le compte de mon épouse.

Mon épouse s’est donnée pour mission de faire tout ce qui est à son pouvoir pour aider à travers des actions humanitaires les camerounais démunis et indulgents.

À titre de rappel et pour que nul n’en ignore, la FCB (Fondation Chantal BIYA) est une institution humanitaire, reconnue d’utilité publique au Cameroun suivant le décret nº 99/098/30 Avril 1999 et bénéficie du Statut Consultatif Spécial du Conseil Économique et Social des Nations Unies à ce titre elle est exclusivement une institution humanitaire, apolitique et à but non lucratif, elle ne saurait être le cadre de négociation pour être considérée comme faisant partie de la majorité présidentielle.

 

L’action de mon épouse envers la FCB et pour les Camerounais, est une action strictement humanitaire voire sociale et aucunement politique. Et le fait que son choix soit portée sur la FCB pour faciliter l’arrivée des dons pour les populations démunies du Cameroun est justifiée par le statut particulier de la FCB et de l’équipe dirigeante de la Fondation, qui ne ménage aucun effort pour que les dons qui les sont envoyés puissent être dédouanés et disponibles pour la distribution aux populations démunies du Cameroun.

 

Nous ne pouvons qu’encourager la diaspora camerounaise à plus de solidarité envers la FCB, qui dans sa mission comme institution humanitaire a su gagner la confiance des institutions internationales telles que les Nations Unies et ceci pour le bien être de tous les Camerounais.

 

QUE DIEU BÉNISSE L’ACTION HUMANITAIRE’ DE LA FCB, QUI VIENT RÉPONDRE DES INSUFFISANCES DE NOTRE SYSTÈME ÉCONOMIQUE ET SOCIALE !

 

LE CITOYEN : Les élections présidentielles ont lieu dans 29 mois. Quel message aux Camerounais ?

 

ANTOINE DE PADOUE NDEMMANU : Chers Compatriotes, Messieurs, Mesdames, notre pays va bientôt reprendre le chemin des élections et en attendant la grande messe électorale, nous devons nous inscrire sur les listes électorales et ceci massivement pour pouvoir faire usage de notre droit et de notre devoir civique. « N.B. : Pour les inscriptions sur les listes électorales, prendre attache avec la Sous/Préfecture de votre localité de résidence muni d’une pièce d’identité et d’un certificat de domicile ».

 

En 2007, lors des dernières échéances électorales, vous étiez plus de six millions ( 6 000 000) de camerounais à vous être inscrits sur les listes électorales, tout d’abord nos félicitations et du courage, vous êtes en bonne voie.

 

Soyez nombreux à vous inscrire sur les listes électorales actuelles ouvertes, car c’est le début de la prise de conscience de ce que votre voix peut faire la différence.

 

Nous pouvons vous assurer de notre  engagement indéfectible pour la poursuite de l’action de l’État dans une continuité nouvelle Par le NOUVEAU DU RENOUVEAU.

 

QUE DIEU NOUS BÉNISSE ! QUE DIEU BÉNISSE LE CAMEROUN ! QUE DIEU BÉNISSE L’AFRIQUE ! AMEN !

 

Interview réalisé par M. Claude DJONGO,

Rédacteur en Chef de « LE CITOYEN »

Extrait du journal le citoyen

 


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